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Exclusivité www.parlons-ovni.fr - Le Professeur Wainwright détaille ses découvertes, son raisonnement et ses difficultés 2 / 2

Pour faire suite à sa première réponse, le professeur Wainwright m'a communiqué un article en Anglais qui reprend en détail ses découvertes, son raisonnement et les difficultés que lui et ses équipes rencontrent.

J'ai traduit ce texte que vous pourrez consulter ici dans sa langue d'origine.

 

Professeur Wainwright.jpg

Nous avons dernièrement réalisé cinq lancements dont trois furent couronnés de succès.

Nous continuons d'isoler des organismes inconnus issus de nos prélèvements au sein  de la stratosphère.

Nous sommes maintenant extrêmement confiants et nous pensons vraiment qu'ils viennent de l'espace.

Notre conclusion sont basées sur les éléments suivants :

- 1)° - Bien qu'il s'agisse de très petits organismes, les lois de la physique interdisent qu'il puisse s'agir d'éléments en provenance de la terre qui auraient pu s'élever jusque dans l'espace

- 2°) - Les organismes apparaissent sur l'échantillonneur sans être mélangés à aucun pollen ou particules d'herbe qui viendraient les polluer. Ceux qui critiquent nos résultats devraient nous expliquer comment selon eux il serait possible qu'un filtre puisse s'appliquer pour arriver à un tel résultat ?

- 3°) - Certains des organismes captés ont causé des impacts sur l'échantillonneur (soit ils endommagent sa surface ou ils génèrent des sortes de cratères) ce qui atteste qu'ils entrent dans la stratosphère assez rapidement en provenance de l'espace. Ainsi on a la preuve qu'ils ne flottent pas paresseusement dans la stratosphère.

- 4°) - L'analyse radiographique (EDX) montre que les particules que nous captons ne sont pas de la poussière cosmique entrante ou la poussière volcanique mais bien des organismes organiques, c'est-à-dire biologiques.

 

Contrairement à ce que nos détracteurs expriment, nos travaux ont été publiés et passés au cribles de comités de lecture dans des parutions spécialisées et nous pouvons fournir de nombreux rapports qui soutiennent totalement nos conclusions.

 

Je regrette que la communauté scientifique n'ait pas encore engagé avec nous de véritable analyse de nos travaux.

J'ai proposé d'initier cette démarche sans poser de conditions ce qui présente un risque, néanmoins à ce jour je n'ai encore reçu aucune réponse.

 

Parallèlement, nous bénéficions d'une forte couverture médiatique qui malheureusement ne tend pas toujours à souligner l'aspect scientifique de notre démarche.

 

Le paradoxe veut donc que nous continuons à trouver de nouveaux organismes jusqu'alors inconnus  dans la stratosphère, que nous cumulons les preuves qu'ils viennent de l'espace et que nous publions nos résultats alors que malgré tout cela, nous continuons à être ignorés par la communauté scientifique en générale.

 

Nous avons appris que la NASA et qu'une équipe Japonaise réalisaient les même expérience que nous avec des ballons sondes. Nous nous attendons à une prochaine confirmation de nos découvertes même si je redoute que la NASA ne cherche à revendiquer le crédit de la découverte.

 

Pour apporter une réponse à ceux qui sur internet cherchent à discréditer nos résultats, je vous propose de prendre connaissance d'une analyse de nos travaux qui a été réalisée par le comité de lecture de " Journal of Cosmologie".

"Votre article fait preuve d'une analyse sérieuse et fait référence à une observation fascinante qui doit absolument être publiée et communiquée à la communauté scientifique.

Il représente une importante découverte très novatrice qui s'appuie sur des éléments issues de la stratosphère rigoureusement échantillonnés (altitude entre 22-27 kilomètres)".

 

Pour conclure, je précise que nous avons réévalué un peu nos précédentes méthodes de travail en association avec des scientifiques à Cardiff et d'Inde.

nouvelle particule.jpg

Nous avons ainsi obtenu des clichés issues d'analyses microscopiques de nos échantillons qui présentent des particules provenant de la stratosphère (41km d'altitude) qui une fois colorées (en utilisant du DAPI (*)) montrent qu'elles contiennent de l'ADN.

 

Nous pensons que ces éléments sont bien trop gros pour provenir de notre Terre.

 

Notre allons maintenant poursuivre nos travaux en procédant à des échantillonnages en Islande via des ballons sondes que nous enverrons traverser des aurores boréales.

 

(*) Dapi = Le DAPI ou 4',6'-diamidino-2-phénylindole est une molécule fluorescente capable de se lier fortement aux bases adénine (A) et thymine (T) de l'ADN



26/04/2015
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